Pour ne pas payer la crise, CGT-vous !
Texte publié le 25 janvier 2012.
Non à la déferlante sociale !
Chaque jour, c’est une nouvelle mesure d’austérité qui est
annoncée. Après la surtaxe des Mutuelles Santé, les déboursements
des médicaments, la journée de carence supplémentaire
en cas d’arrêt maladie, c’est le prix du gaz qui va augmenter.
Face à la pression des marchés financiers, le Premier Ministre
nous parle déjà de nouveaux ajustements. Cela suffit ! Il faut
que cela s’arrête et pour cela, les salariés doivent se faire
entendre et agir.
Tel était le sens de l’appel à se mobiliser le 13 décembre dans
tout le pays.
Au travers ces actions et rassemblements, c’est un message qui
est envoyé au patronat et au gouvernement pour refuser que
la crise serve de prétexte à remettre en cause notre pouvoir
d’achat, notre protection sociale.
Il faudra compter avec les salariés, les retraités, leurs syndicats,
pour pousser les revendications dès les premiers jours de l’année.
Pour sortir de la crise, il faut s’attaquer à ses causes, par une
autre répartition des richesses produites.
C’est le travail qui crée les richesses,
pas la spéculation
Ensemble donnons-nous les moyens d’agir, envoyons un signal
fort au patronat et au gouvernement, préparons les négociations
à venir en décuplant notre force collective, syndiquez-vous !
Plus de 40 000 adhésions à la CGT en 2011
Avec plus de 672 000 syndiqués, nous franchissons un niveau
inégalé ces dernières années.
Nous l’apprécions comme une volonté des salariés de faire échec
au discours d’austérité et de fatalité, RIEN N’EST
INELUCTABLE !
A la jungle du marché, nous opposons une société solidaire,
fraternelle, juste, où chacun peut vivre de son travail et s’épanouir
par le progrès social.
Ensemble, nous sommes une force déterminante si elle se rassemble
pour ces intérêts communs.
Voilà la mission du syndicat et elle plus que jamais d’actualité
pour unir les salariés, de l’ouvrier au cadre, actifs ou retraités.
Un réseau social organisé pour agir, ça existe, c’est
la CGT
Il a besoin de se développer par votre investissement, n’hésitez
plus ! Faites savoir au patronat et au gouvernement
qu’il y a urgence à répondre aux revendications, syndiquez-
vous !