L’agence FRONTEX complice de maltraitance humaine !

Texte publié le 8 août 2019.

Divers rapports internes à Frontex publiés mardi 6 août, relayés par des associations des droits de l’homme et par des médias, démontrent que l’agence européenne Frontex couvre des violations graves des droits humains des migrants et migrantes par des garde-frontières en Bulgarie, en Hongrie et en Grèce.
Viols, maltraitances, extorsions, vols, expulsion de mineurs non accompagnés, utilisation de menottes ou des sédatifs, ce ne sont que quelques exemples de signalements faits à Frontex. Or, bien que ces garde-frontières nationaux travaillent sous la coordination des agents de Frontex, parfois même sous la surveillance d’un agent de liaison dépêché sur place par l’Agence, celle-ci s’en est systématiquement lavé les mains.

Pour en savoir plus, lire le communiqué de la CGT